Chaire UNESCO sur la diversité
des expressions culturelles

Chaire UNESCO sur la diversité des expressions culturelles

Kawtar Lahkim

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Kawtar Lahkim

Collaborateurs

Kawtar (se prononce Kaoutsar) est Amazigh, soussia et toulalia plus exactement. La première région (Souss) se situe dans le Haut-Atlas, la seconde (Toulal) dans un territoire oasien du nord-est du Maroc. Kawtar est détentrice d'un baccalauréat marocain en sciences économiques, d’un diplôme universitaire français en gestion des entreprises et des administrations, avec une spécialisation en finances et comptabilité, d'une licence française en droit, d'un D.E.S.S. en droit des affaires et d'une Maîtrise en droit (LL.M.) de l'Université Laval. Sa spécialisation est, tout autant, en droit des peuples autochtones (souverainetés, autodétermination, droits culturels et droits territoriaux), en droit des affaires qu'en gestion comptable et financière des organisations. Kawtar cumule une expérience diversifiée, sur plusieurs territoires et en relation avec des personnalités et environnements variés. Elle a travaillé, entre autres, pour KPMG, pour l’Office national marocain du tourisme, pour divers cabinets d'avocats en France, et a organisé de nombreux événements culturels notamment à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle à Genève et dans le milieu culturel autochtone au Québec. Kawtar a également produit des capsules-vidéos animées de langues autochtones avec Joséphine Bacon et co-réalisé avec Alexandre Bacon des formations en ligne sur les réalités autochtones. Elle a administré SINGA Québec, OBNL visant la création de liens entre les personnes réfugiées et la société d’accueil au Québec et dirigé le Réseau jeunesse des Premières Nations Québec-Labrador (RJPNQL) en 2022. Kawtar porte le chapeau de chercheuse en droit des peuples autochtones. Elle a, notamment, publié un mémoire en 2020 sur l’interprétation de l’intérêt général par les juridictions constitutionnelles et administratives canadiennes, québécoises et françaises dans le contexte des droits ancestraux au Québec et des droits d’usages collectifs en Guyane. Elle a fait partie du comité organisateur de la Conférence internationale sur les souverainetés et autodéterminations autochtones à Wendake en 2019 et a travaillé au sein de la Chaire Unesco sur les questions liées à la protection et à la promotion des expressions culturelles autochtones au regard de la Convention de 2005.